L’évolution fait partie de l’homme et même de la vie. Du fond des âges à aujourd’hui, la vie a dû évoluer pour s’adapter aux événements. Depuis qu’il est apparu, l’être humain a également dû faire appel à sa capacité à innover et à aller de l’avant, pour survivre dans un environnement changeant et plein de dangers.
De nos jours, dans un monde en mutation rapide, c’est l’entreprise qui doit à son tour apprendre à évoluer si elle ne veut pas se faire distancer par ses concurrents.
Evoluer pour le meilleur … ou pour le pire
Confrontées à la mondialisation, à un monde où les innovations technologiques se succèdent à un rythme effréné et à une concurrence exacerbée, les entreprises qui veulent continuer à vivre et se développer n’ont pas d’autres solutions que d’être actrices de leur évolution.
En regardant en arrière, on constate que cette évolution n’a cessé de s’accélérer. Si le développement de l’entreprise Michelin s’est fait sur plusieurs décennies, en revanche, la croissance des stars du web comme Facebook ou Amazon, a été extrêmement rapide.
D’une entreprise à l’autre, cette évolution a pris différentes tournures. Dans le cas du constructeur automobile Renault, elle s’est faite par un accroissement et une amélioration de l’activité de base. Dans le cas d’IBM, elle a été réalisée en évoluant au grès des nouvelles techniques et en abandonnant les activités d’origine. Fabricant de tabulatrices à ses débuts, IBM est aujourd’hui une entreprise mondialement reconnue pour ses services informatiques et ses solutions logicielles .
Si l’évolution pour certains est passée par une adaptation aux tendances de l’époque, d’autres en revanche, ont pris le problème différemment, en anticipant voire en créant de nouveaux besoins. Apple en est l’exemple type. Alors que personne n’y croyait, l’iPad a connu un succès retentissant, obligeant les concurrents à rattraper le retard en lançant des produits équivalents.
Pour évoluer, toutes ces entreprises ont dû faire des choix. Parfois, ceux-ci se sont avérés constructifs, parfois, néfastes pour la santé de l’entreprise. Dans les années 90, Apple tente se de démarquer en produisant le Newton, un assistant personnel sans clavier doté d’un écran tactile et d’un stylet. Alors que la firme connait la plus grave crise financière de son histoire, les ingénieurs d’Apple s’obstinent à maintenir un projet coûteux et peu convaincant pour l’époque. Il faudra attendre le retour de Steve Jobs pour que la division Newton soit définitivement fermée.
Un cas concret, la société Kinic
Depuis qu’elle s’est lancée dans la communication en 2009, la société Kinic, basée à Clermont-Ferrand, n’a cessé de faire évoluer son activité. Elle a développé des compétences allant de la conception de sites web à la mise en place de manifestations et de conférences de presse, en passant par la réalisation vidéo et la création graphique.
En septembre 2015, elle se spécialise dans le marketing sportif mais plutôt que de se cantonner à un sport en particulier, elle préfère nouer des partenariats avec différents clubs sportifs et adapter ses solutions en conséquence.
En pleine croissance, la société Kinic s’est alliée dernièrement avec de nouveaux acteurs comme la marque italienne Zeus Sports, équipementier sportif. En parallèle, elle a intégré différents pure-player et mis en place un portefeuille de partenaires et mécènes. Prochainement, la société clermontoise lancera un nouveau service de formation et de coaching.
Pour mesurer le résultat de ses actions, la société Kinic maintient une veille constante en réalisant des sondages mais aussi en examinant l’évolution du trafic de son site Web et des volumes de recherche, et en suivant l’actualité la concernant sur les médias sociaux.
Parce que l’intelligence d’une entreprise passe par la mobilisation des compétences, la société KINIC a la conviction qu’elle doit continuer à créer des synergies avec de nombreuses entreprises afin de pouvoir évoluer dans un monde sans cesse en mutation.