On accable souvent le système mondialisé pour ses répercussions quelques fois négatives sur la société. Mais il faut dire que c’est un choix politique qui ouvre des opportunités de carrières bien concrètes.
Dans le monde des affaires surtout, des métiers en tout genre se sont créés et parmi eux, le métier de la traduction qui prend de plus en plus de place.
Non seulement, il est très sollicité mais aussi, c’est un travail qui paie bien alors que l’accès aux formations est rendu plus facile. Plus de détails dans notre article.
Qu’est-ce que la traduction ?
En effet, c’est une profession basée sur les compétences linguistiques. De façon plus précise, c’est le fait de maîtriser parfaitement une ou plusieurs langues autre que la sienne et de pouvoir assurer une communication fluide et efficace entre deux partis ne parlant pas la même langue.
Aussi, les compétences doivent être supérieures tant à l’oral qu’à l’écrit et surtout, adaptées aux besoins évolutifs d’actuellement. Le fait est que, la mission du traducteur est de transposer un document d’une langue à une autre. Il devra dans ce sens, maîtriser aisément les jargons et faire en sorte que le document traduit soit irréprochable de fond et de forme.
Vous avez ainsi des traducteurs « généralistes » qui sont à l’aise dans tous les domaines et ceux qui ont axé leurs connaissances dans un domaine spécifique comme la science, la technique, la mécanique, la littérature et etc. Quoique, le plus avantageux c’est d’être polyvalent et savoir s’adapter à toutes les thématiques car cela permettra d’être professionnalisé plus rapidement.
Les besoins spécifiques du métier
Une grande culture générale est d’ordre absolu dans la traduction car le métier va exiger à ce que la personne fasse preuve d’une compréhension approfondie de la culture du pays de la langue maîtrisée. Un savoir-faire qui va également aider le traducteur à être plus à l’aise dans la réalisation de sa mission car la communication passera plus facilement.
Un traducteur professionnel français anglais doit, par exemple, avoir des connaissances suffisantes de la culture anglophone pour être efficace dans sa production. L’idée derrière c’est que le mode de communication diverge d’une culture à une autre, et c’est un point dont il faut toujours tenir compte.
Pour la promotion d’un produit par exemple, la forme des informations à communiquer ne sera pas la même quand le produit sera lancé en France que quand il le sera aux Etats Unis. La raison est que, les anglophones ont une certaine manière de faire véhiculer un message, qui ne sera pas perçu de la manière chez un français, si les informations sont traduites littéralement.
On parle peut-être de chocs de culture, qui est une des contraintes faisant obstacle à la mondialisation, mais qui ne doit pour autant être un frein à embrasser d’autres cultures. C’est donc à la personne qui joue le rôle d’interface de s’adapter et de s’assurer que le message est passé comme il faut, reçu et bien compris par la cible.
Qualités d’un bon traducteur
Comme dans tous les métiers, la traduction requiert rigueur, minutie et une grande adaptabilité à chaque situation particulière. La patience et l’endurance sont également des qualités à acquérir car vous aurez effectivement des documents longs et parfois, hautement techniques à traduire. Aussi, un traducteur ne se limite pas sur des connaissances acquises.
Il est créatif, a le sens de l’initiative, sait anticiper les besoins et comprendre les attentes des clients ou des collaborateurs. L’ouverture d’esprit et l’acuité intellectuelle sont des atouts qu’il doit également mettre en avant, car comme évoqué plus haut, le métier de traduction demande une culture générale étendue.
Sinon, le sens relationnel ne devrait plus être discuté comme le métier lui-même est très orienté communication.